T635
x156 Nagler 20mm/OIII
Bien que le SECGPN donne des flux de 100/OIII pour 100/Hbêta, je trouve que l’OIII est mieux que l’UHC car la NP n’est pas plus lumineuse, mais le fond est plus sombre.
Abell 24 est une NP assez décevante: ce pourrait être une nébuleuse diffuse. La forme annulaire est très difficile, elle n’est que suspectée en VI éloignée, et en la connaissant.
Heureusement, il y a Guide8/DSS, et A* et B*, qui sont ER* même avec l’OIII, pour fixer le champ.
Les deux nodules E et W sont difficiles, L2, car sans limites précises.
Les prolongations SW et NW sont aussi très difficiles, L1.5, celle du NE peut être un peu mieux.
La forme d’ensemble de la NP n’est visible qu’en VI éloignée, L1, et elle se résume à un ovale N/S, a/b ~ 1.25 à 1.50, avec des bords externes évanescents, et pas régulier. (Note in situ: je veux dire que l’ovale n’est pas régulier, mais je ne peux en dire plus.)
Par contre, j’ai vu, difficilement mais sûr, que le centre de l’ovale était plus sombre, L0.
Je n’ai pas observé les étoiles proches en détail, mais j’ai remarqué que la densité était conforme à Guide8/DSS. A 156x/OIII, et sans la connaitre, la duplicité de B* n’a pas été vue.
En conclusion, Abell 24 est une Abell avec des limites extrêmement ténues. C’est un gros objet, mais très pâle, et très difficile.
A* GSC 184 791, m13.0B, U2 32690824, m12.26R, A2 090005484814, m12.9V
B* GSC 184 763, m12.0B, U2 32690832, m12.22R, A2 0900 05485351, m11.1V
T254
Chabottes (05), 13 févr. 2002 21:10 UT,mvlon(UMi) 6.4 VI5D, SQMZ (estimé 21.4), T1.5, P1.5, S2/45, alt 47°
x46 Televue Plössl 55 mm / UHC
Dans un champ parfaitement repéré, grâce à G7, Abell 24 n’a pas été vue, malgré beaucoup d’efforts, et 10 minutes d’observation.
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